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La Queyrassine du bois investit dans le séchage et le brossage des bois

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Jean (à gauche) et Christian Ruffoni (à droite) encadrent leur père Antoine.

Crédit photo Al Arter
Christian Ruffoni, assisté de son frère Jean, dirige la Queyrassine du bois, une modeste unité des Hautes-Alpes apparaissant comme l’archétype de la petite scierie familiale et artisanale. Pour encore mieux servir ses clients, l’entreprise vient d’acquérir un séchoir et une brosseuse.

Qui a dit que la petite scierie artisanale n’avait pas d’avenir ? Et qu’elle était condamnée à disparaître faute d’adaptation et d’investissements ? Ce lieu commun, trop souvent rebattu, demande à être examiné de plus près. Car, il n’y a pas que la capacité de production, la masse critique, les revenus à 8 chiffres, la puissance financière pour réussir dans la première transformation. D’autres modèles tout aussi viables existent que celui de la méga-unité qui casse du bois quotidiennement en 2 x 8 heures.

Toutefois, des préalables s’imposent pour qu’une petite scierie artisanale rencontre le succès. Structure familiale, matériel adapté et renouvelé, proximité avec son marché par définition local, notion de service y compris dans une transformation plus poussée, carte des bois de pays… La liste n’est pas exhaustive. Et on retrouve tous ces éléme

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