Qui a dit que la petite scierie artisanale n’avait pas d’avenir ? Et qu’elle était condamnée à disparaître faute d’adaptation et d’investissements ? Ce lieu commun, trop souvent rebattu, demande à être examiné de plus près. Car, il n’y a pas que la capacité de production, la masse critique, les revenus à 8 chiffres, la puissance financière pour réussir dans la première transformation. D’autres modèles tout aussi viables existent que celui de la méga-unité qui casse du bois quotidiennement en 2 x 8 heures.
Toutefois, des préalables s’imposent pour qu’une petite scierie artisanale rencontre le succès. Structure familiale, matériel adapté et renouvelé, proximité avec son marché par définition local, notion de service y compris dans une transformation plus poussée, carte des bois de pays… La liste n’est pas exhaustive. Et on retrouve tous ces éléme
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?