Spécialisée dans la première transformation du chêne, la scierie franc-comtoise Brochet poursuit son programme d’investissements. Elle vient de mettre en service une ligne automatique de rognage des pièces équarries. Reportage dans la plaine jurassienne.
Bois feuillusDans la transformation des bois, il n’y a pas que les grands groupes et les grosses sociétés qui investissent. Sur un effectif de scieries qui s’établira sans doute autour de quelque 1 000 unités d’ici 2025, celles à caractère semi-industriel représentent environ un tiers des effectifs opérationnels.
Souvent de composition familiale, la direction de ces entreprises de taille moyenne privilégie la pérennité de l’outil de travail plutôt que la distribution à tout-va de dividendes. C’est le cas chez Brochet, une scierie de chêne fondée par cinq frères éponymes en 1976, à l’orée de la grande forêt domaniale de Chaux (Jura). « Nos parents ont débuté par l’exploitation forestière, d’abord dans le…
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