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La scierie Giorgis, tout pour le service

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De gauche à droite, en haut : Rémi (salarié scierie), grutier de Valence Levage, Dominique Petrequin (SC2P), Jean-Paul Giorgis. En bas : Catherine et Léo Giorgis, Rolland (monteur SC2P).

Crédit photo Maurice Chalayer
La scierie drômoise Giorgis vient de prendre un tournant en changeant de site, en améliorant son outil de production et ses infrastructures. Une scierie qui se veut proche de ses clients en leur assurant services et réactivité.

La scierie Giorgis est située à Die, Drôme, à 400 m d’altitude. Une région qui a fait l’objet d’importants reboisements en pin noir d’Autriche au début du XXe siècle dans le cadre des travaux de Restauration des terrains de montagne (RTM). Un couvert forestier aujourd’hui composé de pins sylvestres et de chênes pubescents dans les altitudes moyennes et de sapins, épicéas et hêtres à l’étage montagnard. Autant dire que le bois ne manque pas pour alimenter la scierie Giorgis, dont la moyenne du rayon d’approvisionnement est de 30 à 40 kilomètres, pour le sapin et l’épicéa.

Si les inconvénients sont d’être éloigné des grands centres urbains et des grands axes de communication de la vallée du Rhône et qu’il y a peu ou pas d’entreprises de taille importante, l’avantage est d’être installé dans une région très touristique avec de nombreuses résidences secondai

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