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De la forêt à l’usine, des ETI d’un nouveau genre apparaissent : les exosquelettes

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Un des quatre exosquelettes testés dans le cadre de Exo-start, l'exosquelette Japet (exosquelette actif) est conçu pour limiter l'impact des manutentions de charges, tâches répétitives et postures contraignantes sur la colonne.

Crédit photo Japet
Ils ne sont pas encore légion, mais certains entrepreneurs les ont déjà adoptés. D’une grande variété, les exosquelettes font leur apparition sur les chantiers sylvicoles − en débroussaillage − et dans les usines − principalement aux postes des services emballage, préparation des commandes, chargement en vrac de colis. L’institut technologique FCBA qui travaille à les faire connaître et les a étudiés, a consacré fin juin dernier une séance de conférences au sujet.

Deux expérimentations réalisées par FCBA sur le sujet des exosquelettes ont été principalement rapportées lors du webinaire organisé le 29 juin 2022 par l’institut. La première a été réalisée avec le soutien du Codifab afin de tester la pertinence de l’utilisation des exosquelettes dans les métiers de la fabrication de l’ameublement. « Quels sont les exosquelettes intéressants pour le secteur ? Dans quelles conditions ? Pour qui ? Comment ? C’est pour tenter de répondre à ces questions que l’étude « Exostart » a vu le jour », a expliqué Clarine Lenormand, consultante en ergonomie à FCBA, co-animatrice de la séance de restitution avec Marin Chaumet, ingénieur forestier R&D

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