L’interprofession Fibois Aura organisait un colloque dédié au sapin pectiné le 24 février à Lyon. Cette journée, qui s’est déroulée dans les locaux flottant sur le Rhône du tout nouveau théâtre l’Île Ô, a permis aux participants d’échanger sur les opportunités à saisir et les freins à lever pour développer les utilisations de cette essence présente en abondance dans les forêts françaises d’une manière générale, et de la région Auvergne-Rhône-Alpes en particulier.
Ça sent le sapin ! Si l’expression n’augure rien de très positif en général, elle a le mérite d'illustrer le déficit d’image qui colle parfois à la réputation de cette essence pourtant présente en grande quantité dans les forêts françaises. Simple victime des turpitudes de la langue française dans ce cas, le sapin pectiné pourrait toutefois retrouver grâce aux yeux des professionnels dans les années à venir. C’est en tout cas ce que se sont appliqué à expliquer les intervenants d’un colloque organisé à Lyon le 24 février par Fibois Auvergne-Rhône-Alpes.Remplacer l’épicéa ?« Le sapin pousse en face de l’atelier. On a une ressource de qualité et en abondance, ça va de soi de l’utiliser », lançait Laurent Guilhot, dirigeant…
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