« Simple caillou dans la chaussure du monde forestier ? », a interrogé Guy Landmann, du Gip Écofor, au sujet de « l’effervescence sociétale » vis-à-vis des coupes rases en préambule à la journée de restitution, le 22 novembre 2022, de l’expertise commandée en mars 2021 par deux ministères, l’Ademe et l’Office français de la biodiversité. Soixante chercheurs ont fait converger leur savoir pour en donner une meilleure idée…
Passer au crible le thème des coupes rases, c’est ce qu’ont entrepris une soixantaine d’experts issus des organismes suivants : l’Inrae, l’ONF, AgroParisTech, le CNPF-IDF, l’IGN, le Cnes, l’OFB, le DSF-Masa, FCBA, l’IEFC, Bordeaux Sciences Agro, l’université de Rouen Normandie, l’université de Franche-Comté, l'université catholique de Louvain. Ils l’ont fait sous l’égide du GIP Écofor et du RMT Aforce de mars 2021 à novembre 2022, à la demande du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, de l’Ademe et de l’Office français de la biodiversité.À l’origine de ce déploiement d’experts, un constat qui a été rappelé en préambule à la journée de restitution du 22 novembre…
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