Les deux événement conjoints couvriront huit halls au total, les halls 9, 11, 13 et 15 étant assignés à BI-MU, et les halls 14, 18, 22 et 24 à Xylexpo. BI-MU est organisé par Ucimu-Sistemi Per Produrre, l’association italienne des fabricants de machines-outils, de robots et de systèmes d’automatisation dont deux représentants étaient présents à cette conférence : sa présidente, Barbara Colombo, et son directeur général Alfredo Mariotti.
Deux représentants d’Acimall, l’association italienne des fabricants de machines et d’outils pour le travail du bois, et organisatrice de Xylexpo, étaient aussi présent : Luigi De Vito, son président, et Dario Corbetta, son directeur. Dans le cadre de cette prochaine édition, les deux événements s’articuleront autour des concepts de di-gitalisation et de durabilité. «Après des mesures d’annulation rendues nécessaires du fait des conditions sanitaires, les récents indices économiques invitent à envisager cette prochaine édition comme un retour complet à la normale», ont unanimement déclaré les organisateurs présents, soulignant par ailleurs la complémentarité existant entre BI-MU et Xylexpo, l’organisation conjointe de ces deux évé- nement devant permettre aux visiteurs du monde en- tier d’avoir un accès global à des technologies, des équipements et des services des- tinés à produire de manière toujours plus efficace et durable, et suivant les principes de l’indutrie 4.0.
C’est ainsi que l’événement entend offrir l’opportunité de découvrir un large panel d’offres liées à ce concept d’industrie 4.0, en particulier à des visiteurs en provenance de pays où ce concept connaît une demande en forte hausse, orienté vers des solutions à la fois automatiques, flexibles et efficaces, combinant à ces exigences celle de gain énergétique et de systèmes digitaux de plus en plus accessibles et ergonomiques.
Le chiffre : 3 milliards d'euros
Luigi de Vito, président d’Acimall, estime que «si les chiffres relatifs à la première partie de cette année se confirment dans les mois qui viennent, nous pouvons raisonnablement espérer qu’en 2022, le monde des technologies italiennes pour le travail du bois enregistra un taux de croissance à deux chiffres, pour un montant approchant les 3 milliards d’euros, dont deux tiers générés à l’export».