Fabricant de portes intérieures et de blocs portes en bois massif standards et sur-mesure, l’entreprise costarmoricaine Le Moine a la capacité d’accroître son activité. Ses dirigeants restructurent l’entreprise pour favoriser sa croissance au-delà des frontières actuelles sur le territoire national.
Spécialisée en menuiserie générale lors de sa création en 1955, l’entreprise costarmoricaine Le Moine prend un tournant près de 30 ans plus tard. Pour répondre à la demande de groupements de négoces, ses dirigeants décident de se lancer dans la fabrication de portes intérieures et de bloc portes en bois massif.
L’entreprise prospère alors, ce qui l’oblige en 1994, à un déménagement de la commune d’Hillion à celle de Lamballe pour s’installer dans un atelier plus conséquent. En 2013, Kévin Le Moine intègre l’entreprise familiale au poste de commercial. Il prend la suite de son père et de son oncle en mars 2019, accompagné par Christian Courcoux, responsable de production au sein de l’entreprise depuis deux décennies, et Jean-Luc Dahirel. Les trois associés comptent bien déployer les ventes sur le territoire national.
10.000 portes fabriquées chaque année
10.000 portes intérieures, de style traditionnel ou contemporain, sortent chaque année de l’atelier. 80% des modèles conçus sont réalisés en chêne et en bois exotique africain ako (réception en plots ou lamellé-collé, qualité à vernir ou qualité à peindre). Les clients peuvent aussi opter pour les essences de châtaignier, de hêtre, de sapin du Nord ou du Jura certifiées PEFC, comme le chêne. L’entreprise propose des finitions vernis et teintes personnalisables, un choix de poignées, charnières, fiches et caches, des modèles vitrés (design) ou coulissants, des façades de placards et différents systèmes de pose (applique, galandage, fin de chantier ou rénovation). Six gammes standards sont ainsi déclinables selon les essences, les dimensions et les finitions, ce qui offre un panel d’une cinquantaine de modèles. L’entreprise s’approvisionne auprès de marchands de bois installés dans le Grand-Ouest et de quincaillers locaux […]