Que ce soit pour protéger une façade ou habiller un intérieur, les produits bois tels que le bardage, le lambris ou le parquet, en plus de bénéficier de caractéristiques de prime abord séduisantes, sont astreints à des règles conditionnant leur conception et mise en œuvre dans une mesure non négligeable. Avec bien entendu la macro-tendance de fond que représente la recherche de performance environnementale, qu’il s’agisse de la provenance des essences ou de leurs modes de transformation.
Bien qu’enregistrant une baisse de l’ordre de -4,1 % des volumes posés, les parements métalliques demeurent majoritaires en ce qui concerne le marché des parements de façades, avec une part de marché de 65 % établie pour l’année 2022 (1). Les parements à base de bois et dérivés arrivent quant à eux deuxièmes du classement, avec une part de 16 %, qui tend à se maintenir. « Le secteur profite de l’effet porteur de la construction bois qui, en 2022 en tout cas, a résisté à la morosité ambiante », observe Arnaud Hétroit, directeur du Commerce du bois.
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