Promouvant une politique de décarbonation massive managée à l’échelle mondiale, la COP 26 a été largement commentée et ses buts loués. Elle a aussi été abondamment critiquée et le programme qui en découle présenté comme le plus grand transfert de richesse de l’histoire. Ce qui est sûr, c’est que la forêt est en ligne de mire de la politique de décarbonation : les producteurs forestiers commencent à en ressentir les effets.
Le samedi 13 novembre 2021, après les 13 journées de réunions de la COP 26 (et 400 atterrissages de jets privés, que n’ont pas manqué de dénoncer nombre d’associations), a été adopté le pacte de Glasgow, perpétuant le vœu de limiter l’élévation des températures à 1,5 degré d’ici la fin du siècle.
« Ces sommets ressemblent à ceux de Davos », a déclaré le président mexicain, l’un des chefs d’État qui ne s’est pas rendu à Glasgow, ce que l’on pourrait traduire sans trop se tromper par : ils sont des rencontres où on discute entre riches de l’avenir du monde...
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