« L’acceptabilité sociale » - expression chère à l’ingénierie sociale - vis à vis de la récolte du bois est désormais un thème très discuté dans les réunions de professionnels de la filière forêt-bois, ceux-ci ayant cette légitime préoccupation : comment faire adhérer le grand public à leurs arguments sur leur métier et leur filière ? Or, le hiatus pouvant exister entre entrepreneurs du bois et une partie de la population s’inscrit dans une communication globaliste dont il est un des avatars. L’effet de celle-ci sur l’opposition entre citoyens à sensibilité environnementaliste et entrepreneurs est peu mesurée par l’une et l’autre partie, alors qu’un désir commun de souveraineté les rapproche.
C’est un fait avéré désormais, des exploitants et transformateurs du bois ont à faire face à une opposition émanant de la société civile, au travers d’associations notamment, qui craignent une industrialisation dévorante et à outrance
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?